Un jeu de cartes aux couleurs de Zelda

C’est en janvier 2011 que Nelde conçoit les visuels d’un jeu de 56 cartes aux couleurs de la franchise Zelda. Mais il aura fallu qu’il attende pratiquement deux ans avant de voir son projet se concrétiser par la société Bicycle.

Dans ce jeu, les figures ont été remplacé&es par des personnages issus de la série Zelda. Et bien que le coeur ait été conservé, après tout il s’agit d’un item propre à Zelda, les autres symboles ont, eux aussi, été changés en épées, Triforce et rubis.

Ce qui est amusant, c’est de penser que Zelda appartient à Nintendo, société qui a débuté ses activités comme… fabricant de cartes.

Le prix pour ce jeu de cartes est de 15$ (22$09 frais de port inclus, soit 17€) à cette adresse.
A noter que deux couleurs d’étui sont proposés : rouge et bleu. Et pour ceux qui désirent avoir les deux versions, un set de deux jeux est en vente pour 28$ (36$84 avec les frais de port, soit 28€37).

Une mini borne d’arcade combo… NES / Super Nintendo

Vous souvenez-vous de la mini borne d’arcade NES ? Skool213, MaxDeLenfer et Raky, formant à eux trois Remakers Team, récidivent et ont créé une mini borne d’arcade combo NES / Super Nintendo.

Du concept à la réalisation finale, il aura fallu 9 mois et demi pour que cette mini borne d’arcade voit le jour. En somme, on pourrait même dire, vu le temps que cela a pris, que les bricoleurs ont accouché d’un beau bébé…

Comme vous pouvez le voir, les panels ont repris la disposition et les couleurs des boutons d’une manette Super Nintendo. Côté écran, la taille n’est pas indiquée mais comme pour leur première réalisation, l’équipe a opté pour un TFT.
Mais le plus étonnant concerne le slot pour cartouche NES. En effet, pour que la cartouche soit lue dans une console NES, il faut effectuer une pression vers le bas, manipulation que vous connaissez bien entendu. Dans cette mini borne, cela n’a plus lieu d’être grâce à un bricolage ingénieux et qui ne fut apparemment pas une partie de plaisir. Néanmoins, grâce à cela, la machine offre deux slots verticaux ET dézonnés, un pour chaque console.

Vous pouvez regarder toutes les étapes de la réalisation, accompagnées de nombreuses photos, de cette mini borne d’arcade combo NES/SNES à cette adresse.

Edit

Oups !
Nous avons oublié de vous signaler que l’équipe peut dorénavant se remettre à un autre projet, la mini borne arcade Megadrive. Vous pouvez lire l’avancée de ce nouveau défi à cette adresse.

Toutes les épées des jeux Zelda réunies en une seule image

Si vous cherchez un fond d’écran aux couleurs de Zelda, celui créé par BLUEamnesiac et présenté aujourd’hui pourrait bien vous plaire.

Ce fond d’écran, d’une dimension plus qu’honorable de 3200×2000 pixels, réunit les épées qui sont dans la saga Zelda. De The Legend of Zelda sur NES à The Legend of Zelda: Battle Quest prévu sur Wii U en passant par Ocarina of Time et Twilight Princess, ce ne sont pas moins de 63 épées qui sont représentées.

C’est à télécharger à cette adresse.

Via Geekologie

Un exemplaire de Nintendo Ultra 64 existe

Haruko Maru, designer de talent, a reproduit une Nintendo Ultra 64, le fameux prototype de la Nintendo 64.

Revenons quelques années en arrière, en 1993 exactement où Nintendo annonce qu’elle développe une nouvelle console dont le nom de code est Project Reality. Par la suite, on apprend qu’elle portera deux noms, Nintendo 64 pour le Japon et Ultra 64 pour l’Europe et les Etats-Unis. Au final, la console sera commercialisée sous le nom Nintendo 64 pour tous les territoires.

Afin que l’Ultra 64 soit exactement comme celle qui existait à l’époque, Haruko Maru ne s’est pas contenté de faire reproduire les logos et les appliquer sur la machine. Il a poussé le vice de modifier le hardware.
En effet, comme il l’explique sur son blog, le prototype de l’Ultra 64 renfermait des composants électroniques qui auraient permis un meilleur affichage. En bref, au lieu d’un signal vidéo composite, la machine était dotée d’un signal RVB. Haruko Maru a donc ouvert la console et fait les modifications nécessaires (tutoriel disponible sur son blog).

Un travail soigné qui procure à son propriétaire un exemplaire unique d’Ultra 64.

Via Blog Haruko Maru

La Fête de la Bière a son jeu vidéo : Oktoberfestmanager

Que ce soit pour le football avec L’entraineur, ou de basket avec Basketball Pro Management, les jeux de gestion ne manquent pas. Mais celui qui a été présenté cette semaine, Oktoberfestmanager est d’un genre particulier car il vous met dans la peau d’un exposant lors de la Fête de la Bière.

Evidemment, il ne s’agit pas de manipuler la manette pour être complètement ivre. Dans Oktoberfestmanager, vous devrez préparer l’événement, acheter la tente, choisir vos fournisseurs, recruter les serveuses. D’autres paramètres sont aussi à prendre en compte comme la température de la tente pour attirer le consommateur, ce qui se vérifie par le nombre de pintes remplies. Enfin, il est même possible de réaliser son propre mélange de bière et de recruter un sbire pour nuire à la concurrence.

Oktoberfestmanager est disponible sur PC, Mac (18$99) et sur l’AppStore (4$99).

Quand on pense que l’on dit souvent que les jeux vidéo ne font pas dans l’originalité…

Via AFP

La v4 d’Allgamers est enfin en ligne

Préparée depuis quelques mois, vous voici en face de la nouvelle version d’Allgamers, la v4. Pour tout vous dire, ce ne fut pas une mince affaire puisque votre serviteur y est depuis 9h ce matin ! Autant dire que les cafés et les aspirines ont tourné.

C’est donc une toute nouvelle page d’accueil qui s’offre devant vos yeux où toutes les rubriques que vous connaissez y ont été transposées.

La grande nouveauté de cette nouvelle version est la couleur. Terminé le noir, on passe au « bleu MegaMan ». Le retrogaming est une passion joyeuse alors autant ajouter de la couleur non ?
Autre nouveauté, le slogan qui devient Retrogaming is fun. Et oui, tout dans la bonne humeur.

Néanmoins, il reste quelques petites choses à faire comme l’intégration totale du forum dans cette nouvelle version ou le fond du site et du forum. Aussi, pour le moment, les liens dans les rubriques renverront vers des pages 404. Ceci est du à la réécriture des adresses qui n’ont pas été prises en compte. Je travaille là dessus afin que tout rentre dans l’ordre. En attendant, vous pouvez les retrouver en passant par le forum.

J’espère que cette nouvelle version vous plait.
Bien entendu, l’équipe reste à votre disposition pour les questions que vous vous poseriez ou bien pour des remarques/suggestions.
Bon surf.

Horeus

MàJ 26/08

Les liens de toutes les rubriques ont été corrigés.

Sony PlayStation 1

L’histoire de la PlayStation 1 commence en 1986, soit près de 10 ans avant sa sortie, où Nintendo rencontrait des problèmes avec le magnétisme et le piratage des disquettes. Désirant s’orienter sur le support CD-Rom, la firme de Kyoto fit appel à Sony et Philips afin d’élaborer un projet de SNES-CD.

De son côté, Sony voulait aussi sortir une console en son nom mais qui serait compatible avec la Super Nintendo, profitant ainsi des supports cartouche et CD-Rom et appela son projet Super Disc.

Lors du Consumer Electronics Show de 1989, le SNES-CD allait être annoncé mais la découverte par Nintendo que Sony obtiendrait la pleine jouissance de tous les jeux sortant sur cette nouvelle console remit tout en question. En plein CES, Howard Lincoln, président de Nintendo USA, annonça que la société collaborait avec Philips et que le travail avec Sony était abandonné.

Cela ne désarma pas Sony pour autant qui décida de continuer à élaborer sa console, tout en incorporant une connectique afin de profiter des jeux Super Nintendo. En octobre 1991, un premier modèle fut dévoilé. De là, tout s’accélère. En 1993, le projet PlayStation 1, fut actualisé pour correspondre avec son époque. De fait, la connectique qui aurait pu permettre de profiter des jeux Super Nintendo sur la console est retirée.

Le 3 décembre 1994, la PlayStation 1 sort au Japon. Il faudra attendre presque un an pour qu’elle arrive aux Etats-Unis, le 9 septembre 1995 accompagnée de Battle Arena Toshiden, Twisted Metal, Wipeout et Ridge Racer. Quelques jours plus tard, le 29 septembre, l’Europe fait sa connaissance.

Avec un catalogue de 7.902 jeux et des franchises phares comme Silent Hill, Resident Evil, Wipeout, Metal Gear, Gran Turismo, Final Fantasy ou Tekken, la PlayStation 1 et sa petite soeur, la PSone, sortie en septembre 2000, ont su s’imposer dans le monde vidéoludique. Un succès tel qu’il précipita la chute de Sega et de sa Dreamcast.

Pendant les 12 ans de son existence, 104,25 millions d’exemplaires de la console et 961 millions de jeux furent vendus dans le monde.

A noter qu’il y a eu plusieurs modèles de PlayStation 1. A partir des versions 5xxx, les ports RCA et S-VHS furent retirés au bénéfice d’une sortie péritel et à partir des versions 900x, c’est au tour du port parallèle de disparaître. Même chose pour les manettes qui ont connu trois versions différentes.

Console :
Nom de code : Super Disc puis PS-X (PlayStation Experimental)
Processeur : MIPS R3000A 32 bit RISC cadencé à 33,8688 MHz
Coprocesseur :
– MDEC dédié à la compression et décompression de données
– GTE (Geometry Transformation Engine) dédié à la 3D isométrique
Processeur graphique : nom inconnu dédié à la gestion de la 2D, séparément du GTE
Processeur sonore : SPU (Sound Processing Unit) cadencé à 44,1 kHz
Mémoire :
– 2 Mo RAM
– 1 Mo VRAM (vidéo)
– 512 Ko pour le son
– 512 Ko ROM (bios)
– 128 Ko EEPROM
Support : CD-Rom de 700 Mo maximum
Palette graphique : 16,7 millions de couleurs (24 bits)
Couleurs affichées : 16,7 millions
Résolution : 256×224 et 640×480 pixels
Son : 24 canaux stéréos
Ports : 2 ports manettes, 2 ports cartes mémoires, bouton reset, port audio et vidéo
Dimensions : 269x189x57 mm
Poids : 1284g
Autres : CD-Rom 2x

Manette :
Taille :
– Modèle 1 : 150x92x45 mm
– Modèle 2 : 163x100x60 mm
– Modèle 3 : 158x98x65 mm
Boutons :
Modèle 1 : 11 au total
– 9 boutons d’action : rond, triangle, croix, carré, L1, R1, L2, R2, croix directionnelle 4 directions
– Boutons start et select

Modèle 2 et 3 : 14 au total
– 2 Joysticks
– 9 boutons d’action : rond, triangle, croix, carré, L1, R1, L2, R2, croix directionnelle 4 directions
– Boutons start et select
– Bouton activation ou non de l’analogique
Ergonomie : excellente prise en main. D’ailleurs, la manette PlayStation servira de modèle pour de nombreuses autres manettes fabriquées par des tiers
Poids :
– Modèle 1 : 210g
– Modèle 2 : 261g
– Modèle 3 : 249g

Neuve, la PlayStation 1 était vendue 2.099F (320€). Avant sa sortie officielle en France, il était possible de l’importer pour 4.500F à 5.000F. Au fil des années, son prix baissa régulièrement pour atteindre 990F (150€92).
Cette console n’existe plus qu’en occasion sur des sites de ventes ou des magasins spécialisés. Les prix sont très variables selon le nombre de jeux l’accompagnant. La console, sans boite, avec une manette, se trouve pour à peine 10€. En boite, comptez une vingtaine d’euros.

Le gros défaut de la PlayStation 1 réside dans le chariot de son lecteur qui, à force de mettre et de retirer les CD-Roms, se place de plus en plus loin de la lentille, occasionnant des problèmes de lecture.
Outre de retourner complètement la console, deux solutions existent : changer intégralement le bloc optique ou opter pour un chariot plus solide.
Heureusement, la PlayStation 1 est une console très facile à démonter et un tutoriel a été fait pour vous aider : démonter entièrement une PlayStation 1.

NEC PC Engine CoreGrafX

En 1988, un an après la sortie de la PC Engine au Japon, NEC commercialise la CoreGrafX. Côté hardware, rien ne change par rapport à son ainée hormis qu’à la place de la prise d’antenne se trouve une prise péritel. Aussi, la console n’est plus de couleur blanche mais noire.

Alors que la PC Engine ne fut vendue qu’au Japon (et en France grâce à la société Sodipeng), la CoreGrfX arriva aux Etats-Unis mais sous le nom de TurboGrafx-16 le 29 août 1989.

Console :
Processeur : Hu6280 cadencé à 7,16 Mhz
Processeur graphique : HuC6260 16-bit + HuC6270A 16-bit
Mémoire :
– 8 Ko RAM
– 64 Ko VRAM (vidéo)
Support : HuCard de 2,5 Mo
Palette graphique : 512 couleurs
Couleurs affichées : 482 (241 en arrière-plan et 241 sprite)
Résolution : 256×212, 320×256 et 512×256 pixels
Son : 6 voies PSG
Ports : 1 port manette, port vidéo et audio, port EXT-BUS (pour CD-ROM)
Dimensions : 135x133x14 mm
Poids : 421g

Manette :
Taille : 140x60x21 mm
Boutons : 6 au total
– Croix directionnelle
– 2 boutons d’action 1 et 2
– Boutons start et select
– 2 boutons de sélection (pour la vitesse de réponse)
Ergonomie : plutôt agréable. La manette se rapproche un peu de celle de la NES
Poids : 143g


Vous ne trouverez plus la PC Engine CoreGrafX qu’en occasion sur des sites de vente ou en magasins spécialisés.
Comptez une cinquantaine d’euros pour un modèle en parfait état accompagné de 2 ou 3 jeux. En boite, les prix ont tendance à grimper en flèche.

A notre connaissance, il n’existe aucune pièces détachées de la PC Engine CoreGrafX. Les seules choses que vous trouverez seront des HuCards (les prix varient selon le titre; de 9€90 à plusieurs dizaines d’euros) ou des manettes.

Sony PStwo

Comme la société l’avait fait quelques années auparavant pour la PlayStation, Sony présente une nouvelle version de la PlayStation 2 le 21 septembre 2004 pour une commercialisation dès le 1er novembre.

Plus silencieuse, celle qui est nommée PStwo (ou PlayStation 2 Slimline) est aussi bien plus compacte avec un volume réduit de 75% (2,8 cm d’épaisseur au lieu de 7,8) et la moitié de son poids initial !

Si esthétiquement, c’est une révolution, côté hardware, rien ne bouge, ou presque. En effet, la PStwo est enfin dotée d’un port Ethernet là où la première PlayStation 2 devait recevoir un module additionnel. Aussi, le bouton on/off situé à l’arrière de la machine a disparu et le lecteur n’est plus à tiroir mais par un clapet.

En 5 ans, 100 millions de consoles ont été vendues. En février 2011, la console bat son propre record avec 153,68 millions d’unités vendues. 1 milliard 520 millions de jeux sur un catalogue de 10.828 titres ont trouvé preneur !

Console :
Processeur principal : 64 bit Emotion Engine de 294,91 MHz (considéré comme un processeur 128 bits)
Processeur graphique : Graphics Synthesizer à 147 MHz
Processeur sonore : SPU1+SPU2 à 8 MHZ
Mémoire :
– 32 Mo RAM
– 4 Mo VRAM (vidéo) à 66 millions de polygones
– 2 Mo pour le son
Support : CD et DVD
Palette graphique : couleurs 32 bits
Couleurs affichées : 32 bits
Résolution : 1280×1024 pixels
Son : ADPCM 44100Hz – SPU2 de 48 canaux et d’une mémoire de son de 2 Mo
Ports : 2 ports manettes, port vidéo et audio, lecteur DVD-ROM 4X (24X pour les CDs), 2 ports USB, 2 ports cartes mémoire (8 Mo), 1 port optique
Dimensions : 230x152x28 mm
Poids : 900g puis 720g

Manette :
Taille : 158x98x65 mm
Boutons : 14 au total
– 2 Joysticks
– 12 boutons d’action : rond, triangle, croix, carré, L1, R1, L2, R2, croix directionnelle 4 directions
– Boutons start et select
– Bouton activation ou non de l’analogique
Ergonomie : excellente prise en main
Poids : 244g

Neuve, la PStwo était vendue 149€ en Europe et 149$ aux Etats-Unis. Désormais, vous la trouverez en occasion.
En occasion, comptez une vingtaine d’euros pour une console avec ses câbles et une manette, un peu plus avec quelques jeux.

Lecteur, carte mère et coque sont les pièces détachées que vous pouvez trouver mais il est plus judicieux d’acheter directement une console complète vu son nombre sur le marché.

Sony PSone

Nous sommes le 7 juillet 2000 et Sony commercialise une version relookée de sa console PlayStation au Japon pour 15.000¥. Nommée PSone, elle est beaucoup plus légère et un tiers plus petite. La console sert surtout d’alternative bon marché car la PlayStation 2 est sur le point de sortir au Japon.

Néanmoins, elle a un avantage non négligeable par rapport à ses concurrentes. En effet, un écran LCD et un adaptateur pour allume cigare l’accompagnent et de ce fait, on peut profiter de la console en voiture.

Enfin, pour contrer le piratage, très fréquent sur l’ancien modèle, Sony a mis en place une protection contre les modchips en changeant les circuits internes, ce qui signifie que la PSone ne peut pas lire les jeux gravés. Cette protection, l’avenir l’a montré fut de courte durée.

En 2006, Sony décide d’arrêter la production de la PSone. 28,15 millions d’exemplaires sont désormais dans les foyers.

Console :
Processeur : MIPS R3000A 32 bit RISC cadencé à 33,8688 MHz
Coprocesseur :
– MDEC dédié à la compression et décompression de données
– GTE (Geometry Transformation Engine) dédié à la 3D isométrique
Processeur graphique : nom inconnu dédié à la gestion de la 2D, séparément du GTE
Processeur sonore : SPU (Sound Processing Unit) cadencé à 44,1 kHz
Mémoire :
– 2 Mo RAM
– 1 Mo VRAM (vidéo)
– 512 Ko pour le son
– 512 Ko ROM (bios)
– 128 Ko EEPROM
Support : CD-Rom de 700 Mo maximum
Palette graphique : 16,7 millions de couleurs (24 bits)
Couleurs affichées : 16,7 millions
Résolution : 256×224 et 640×480 pixels
Son : 24 canaux stéréos
Ports : 2 ports manettes, ports vidéo et audio par RCA et péritel, 2 ports cartes mémoires
Dimensions : 193x144x38 mm
Poids : 500g
Autres : CD-Rom 2x

Manette :
Taille : 158x98x65 mm
Boutons : 14 au total
– 2 Joysticks
– 9 boutons d’action : rond, triangle, croix, carré, L1, R1, L2, R2, croix directionnelle 4 directions
– Boutons start et select
– Bouton activation ou non de l’analogique
Ergonomie : excellente prise en main
Poids : 244g

Neuve, la PSone était vendue 790F (120€44). Dorénavant, vous ne la trouverez plus qu’en occasion sur des sites de vente ou en magasins spécialisés.
Comptez une dizaine d’euros pour un modèle en parfait état accompagné de 2 ou 3 jeux. En boite, les prix montent un peu mais la PSone reste très abordable.

Vu le nombre de PSone en circulation, il n’est pas difficile d’en trouver une qui servirait de pièces détachées. Le plus souvent, c’est le lecteur CD qui lâche en premier et il est aisé de le changer soi-même.